Avec beaucoup de retard et avec toutes mes excuses je continue ce journal avec la suite de la nouvelle Zélande. Périple qui remonte maintenant à presque 2 mois... Oui bon ben on fait ce qu'on peut hein ! Pas toujours évident d'avoir une connexion internet dans le fin fond du bush Australien.
La côte Est de la Nouvelle Zélande n'est pas descriptible par écrit, c'est quelque chose qui se vit. Des paysages qui prennent au tripes et nous font relativiser sur notre petite existence et nos problèmes quotidiens. Une végétation inconue, une faune parfois surpennante et ce malgré les 15 petits degrés quotidiens.
Je me caille parfois mais ce froid est vivifiant et l'alternance monde sauvage-ville et rugby est un rythme très appréciable. L'après-midi sur la plage je ramasse des coques et des moules que je fais ensuite cuire le soir même au coin d'une chaudière dans une auberge ressemblant plutôt à une maison d'hôte. Mon hôte est une néo-zélandaise pure souche, avec un accent impossible mais une connaissance de son pays extraordinaire.
Le lendemain elle m'envoie dans une grotte à une heure de marche, tout simplement renversant... Le lendemain pêche au samon, qui sera sitôt fumé et agrémenté puis dégusté.
Le passage dans les villes pour les phases finales fut à chaque fois un moment innoubliable. Une demi finale de rêve avec tous les néo-zélandais pour la France ou plutôt contre les anglais ! Quelques litres de bière et un nightclub de folie pour une victoire bien arrosée ! Le quart de finale contre les gallois fut plus angoissant mais à Queenstown, réputée comme la ville la plus festive de l'île du sud. J'approuve. Ville ou j'ai passé quelques jours, au pied des montagnes, 2 jours après la fermeture de la saison de ski, à mon grand desespoir. Qu'a cela ne tienne, marche de 4 heures au pied du glacier de Franz Joseph et Jaccusi le soir toujours au pied des montagnes. Initiation au Hockey sur glace avec des jeunes kiwis (néo-zélandais) et soirée crèpes françaises !
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